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Kyoshiro Nakata (fiche terminée)
Kyoshiro Nakata
Messages : 4
Date d'inscription : 18/07/2022

Hunter Book
Hatsu: Spécialisation
Inventaire:
Passe Temps (Job): Mercenaire
Mercenaire
Kyoshiro Nakata


Kyoshiro Nakata

  • Surnom: Le démon aux yeux rouge
  • Lieu naissance: Jappon
  • Âge: 27 ans
  • Métier: Mercenaire
  • Groupe: Civil
  • Hatsu: Questionnaire
  • Avatar: Yi Zaha (The Return of the crazy demon)
“La célébrité n'est pas facile à assumer, je ne vois rien de pire, si peut-être, l'anonymat.”
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Physique & Caractère


Kyoshiro n’est pas vraiment ce que l’on a en tête, lorsqu’on se représente un assassin. Effectivement, ce n’est pas un gros tas de muscle dont la longueur de la barbe ne rivalise qu’avec sa chevelure. Il possède de longs cheveux, qu’il attache assez souvent en queue-de-cheval. Notre jeune protagoniste est né avec des cheveux marron qui retombent le long de son dos. Il ne porte peut-être pas de barbe, parce qu’il se rase de près.

En dépit d’une croissance lente à son jeune âge, Kyoshiro est devenu malgré tout assez grand, mesurant un mètre soixante-quinze. Mais là où son profil diverge par rapport aux autres assassins, c’est sur son physique. Il n’est peut-être pas squelettique, mais possède une mince corpulence. Attention, il est relativement musclé, mais sans exagération. Il a forgé son corps en se battant en tant que gladiateur. Son visage est à l’image de ses muscles, fin, avec des traits féminins. Ses pupilles écarlate lui confèrent un regard plongeant son interlocuteur dans un état hypnotique.

Kyoshiro porte souvent un haori vert sombre et claire, couvrant la partie haute de son corps et ses mains. Pour la partie inférieure, il opte en général pour un Hakama de la même couleur que son haori, appréciant la liberté de mouvement que cela lui offre. Enfin, des tabis de ninja noirs à ses pieds. Bien évidemment, les vêtements peuvent changer en fonction de la mission. Comme il peut porter un kimono complètement blanc. Pour finir, le jeune assassin porte durant la majeur partie de ses missions un masque sombre et doré recouvrant juste la partie supérieure de son visage, dans le but de dissimuler son identité. Il s'est fait appeler le démon aux yeux rouge à cause de ce masque.
***

Il serait complexe de décrire notre jeune héros aussi mystérieux qu’une silhouette tapissant dans l’ombre. Véritable archétype d’un ninja dans toute sa splendeur. Cela s’intègre à son tempérament le plus circonspect. Son apparence peut susciter pacifisme et confiance, alors qu’il n'en est en réalité tout autre intérieurement. En dépit de sa jovialité, Kyoshiro, jouit d’un savoir conséquent, ayant été dès son plus jeune âge, initié au culte et à la philosophie d’un bon shinobi.

Malicieux et sans scrupule d'apparence, il n'en demeure pas moins un assassin doté d'une patience impressionnante, bien qu'il admet que la tergiversation ne fait aucunement partie de sa façon de penser, enfin à certains égards. Sa froideur d'âme, sa maîtrise du ninjutsu, taijutsu et du kenjutsu, aux premiers abords lui donnent un aspect quelque peu hautain et réservé, mais il s'agit là d'un masque qu'il arbore et qu'il préserve plus par mauvaise habitude que par réelles volontés.

En dépit de son trait de caractère mystérieux, il se montre particulièrement loyal envers ses pairs, notamment avec des personnes qu'il garde en haute estime et qui figurent parmi son cercle très fermé d’ami. Sachant qu'il ne s'attache pas facilement.

Méfiez-vous de son apparence juvénile, l’expérience lui a appris à prendre généralement de bonnes décisions, bien que personne ne soit infaillible et qu'il ait commis des erreurs par le passé et en commettra d'autres dans un avenir proche.

Une fois que l'on a apprivoisé le démon aux yeux rouges, celui-ci se révèle être une personne courtoise et plutôt agréable à vivre. Il peut même se révéler parfois comique, et taquin auprès de ses proches. En combat, c'est un adversaire obstiné et plutôt implacable. Tant qu'il lui restera des forces, il continuera à lutter. Il ne perd que très peu son sang-froid et peut se montrer impitoyable lorsqu'il n'a guère d'autres choix. Kyoshiro est capable d'adapter son style stratégique en fonction de celui de son adversaire, agissant tantôt sournoisement ou de manière plus frontale, comme on le lui a durement enseigné auprès de la main.

Histoire


Les nuages assombrissaient le ciel de la ville de Kuruma, située dans la région de Saikaido, laissant seulement quelques filets de rayon lunaire éclairer les différentes maisons de manière éparse. Les couleurs chaudes de la matinée laissèrent place à un vent frais une fois la nuit tombée. Une légère brise soufflait sur le sol, balayant progressivement la poussière qui s’était mélangé au pavé jonchant les ruelles de la ville et plus particulièrement celle du marché. Les bols en céramique qui étaient exposés sur les grands étals et les objets de décorations, avaient complètement disparu. La région était le théâtre d’affaires florissantes et de commerce en tout genre. Si certains commerçants gagnaient honnêtement leur vie, d’autres en revanche s’adonnaient à des activités peu reluisantes. Telle que le vol. Justement, dans l’ombre des étals de bois où trônait d’ordinaire plusieurs produits divers et variés, se dissimulait d’étranges silhouettes qui s’éclipsaient aussi rapidement qu’elle ne pouvait apparaître. Ce spectacle majestueux à l’abri des regards n’était que l’œuvre d’une troupe de cirque connu sous le nom des « Fleurs de Lys ». Sauf qu’officieusement, elle servait de couverture pour une troupe de mercenaires que les bruits de couloir surnommaient « la main ».

Cette danse nocturne que se livraient ses membres, symbolisait le retour au repaire après avoir gracieusement accompli leurs méfaits. L’organisation était devenue une véritable légende dans la région, voir même un mythe. Mise à part pour un public averti qui faisait honteusement appel à leur service. Pourquoi ? Pour dérober un objet de grande valeur ou encore éliminer un élément gênant, sans pour autant faire le lien avec eux. En fait, le vol n’était pas leur unique spécialité. L’organisation s’adonnait au sabotage, à l’espionnage, à l’infiltration et l’assassinat. Adoptant parfois des méthodes non-conventionnelles. La main était ni plus ni moins un ancien clan ninja qui sévissait dans la région.

Le visage de cette organisation était connu sous le nom d’Yamato Nakata, ou encore le démon, qui n’était d’autre que le chef du cirque, la Fleur de Lys. Très connu jusqu’à Fukuda, mais également dans le reste de la région, étant une troupe itinérante. Il formait un duo avec son épouse, Yasmina Nakata. Le cirque pouvait stationner dans l’une des villes de la région, cela ne leur empêchait pas de commettre leur méfait à mille lieux de leur repaire. Étouffant au passage tout soupçon ou implication de leur part. Difficile d’imaginer qu’une troupe d’artistes composées d’acrobate, magicien, dresseur d’animaux, jongleur, clowns, trapéziste et j’en passe, pouvait se révéler être un ancien clan ninja sans scrupule.

Le couple Nakata, ne pouvait concevoir d’enfant. Yasmina avait des problèmes de conception et ce n’était plus un secret pour l’organisation. Enfin… c’était ce qu’on se disait. Mais comme la chance souriait toujours aux audacieux, ce fut au retour de leur opération, qui s’était avéré particulièrement risqué, que Yasmina finie par mettre la main sur une denrée rare. Un enfant ! Elle avait fini par le trouver dans un panier entre deux étals recouvert d’une épaisse couverture qui le protégeait des basses températures nocturne. Le petit chérubin n’avait même pas deux semaines, avec un mince filet de cheveux de couleur marron qui lui recouvrait le sommet du crâne. La Kunoichi extirpa l’enfant de la ruelle pour le ramener au reste de la troupe. Ce jeune bébé, n’était d’autre que moi.

Grandir au côté d’assassin chevronné à la moralité douteuse n’était peut-être pas par le cadre idéal pour un enfant, mais la façade légale de la main, le cirque, donnait un contraste assez ludique pour mon jeune âge. Après tout, c’était le rêve de tout enfant d’être proche des artistes. Sauf que la majeure partie du temps certains membres de la ligue se servaient de mon apparence d’enfant pour faire les poches discrètement au passant. Je pouvais ainsi m’approcher des clients sans éveiller les soupçons. Compte tenu de mon jeune âge et ma frimousse d’ange.

Je me souvenais du jour où celui qu’on appelait le démon, fit son retour au sein de l’organisation après avoir passé plusieurs jours dans une opération qui nécessitait de la patience. J’avais à peine sept ans et Yamato ne semblait pas m’accorder une certaine considération. Il ne témoignait aucun intérêt à mon égard et se comportait avec beaucoup de froideur envers ma personne. J’en ignorais complètement la raison. Peut-être parce que je n’étais pas de son sang et que je ne lui ressemblais pas. Ou encore, ma mère m’avait adopté sans lui toucher un mot. Tout était-il que je ne considérais vraiment pas non plus cet individu comme mon père.

Par contre, Yasmina tenta de me rassurer. Me demandant d’être indulgent envers son époux. La vie ne lui avait pas vraiment fait des cadeaux, étant obligé de grandir plus vite qu’il n’aurait dû. Comme quoi, il devait subvenir aux besoins de sa famille et que sa dernière mission avait été harassante pour son corps et qu’il avait besoin de repos. Bref, elle m’avait étalé son CV durant ces dix dernières années, histoire de légitimer le comportement de son époux. Yamato avait fini par sombrer au plus profond dans l’obscurité du monde shinobi, car le rôle de notre organisation shinobi était d’accomplir des missions trop délicates pour être attribuées aux citoyens ordinaires. Les missions requéraient une complète dépersonnalisation. Sans remords ni sentiment.

Avec le temps, j’avais fini par m’entourer de deux bons amis. Hiro et Mia. Ils étaient certes plus grands que moi, mais s’évertuaient à ma prendre les rudiments d’un parfait shinobi. En-dehors du fait que ma couverture d’apprenti jongleur dans notre organisation m’allait plutôt bien. D’ailleurs en parlant de mon rôle, ce ne fut qu’à mes douze ans que je commis ma première erreur. Je n’étais pas plus haut que trois pommes. En y repensant, je ne faisais pas tellement mon âge.

Cette mission comportait des risques, mais que pouvait être un contrat sans risque pour un shinobi, comme le disait si bien ma mère, si ce n’était qu’une poussée d’adrénaline suffisante pour aiguiser vos sens. C’était sur un coup de tête que nous nous étions préparés. Le client, un riche politicien naviguant dans les hautes sphères du pouvoir qui souhaitait se débarrasser discrètement de la concurrence. Quant à la cible, c'était un important riche homme d’affaires entouré par sa garde personnelle. L’unique moyen de pénétrer dans sa demeure était de se faufiler par une petite fenêtre entrouverte, heureusement que mon apparence juvénile me le permettait. Nous profitâmes des festivités qui distrayaient la ville concernant la fête de Tanabata, vulgairement la fête des étoiles. Les rues étaient particulièrement bondées et les forces de l’ordre étaient grandement sollicitées. Pendant que Mia usait de ses attributs féminins pour distraire la garde personnelle de la cible, Hiro et moi profitons de la diversion pour rejoindre la façade arrière du bâtiment afin qu’il puisse me faire la courte échelle et atteindre la fameuse fenêtre en grippant sur le reste du parcours.
Je me retrouvais à présent en territoire hostile, me demandant comment j’allais bien pouvoir descendre de mon perchoir.

À titre d’information, la fenêtre donnait effectivement dans l’enceinte de la villa, malheureusement, elle était assez haute par rapport au sol. J’étais persuadé que pour l’ouvrir les agents de sécurités devaient se servir d’une échelle. J’avais à peine le temps de tergiverser, il fallait que je m’active. Je n’eus pas d’autre choix que de bondir de mon perchoir, sauf que la chute n’épargna pas ma cheville droite. Les couloirs semblaient certes vides, mais la discrétion restait mère de sûreté. L’effet de surprise faisait partie des qualités d’un bon shinobi. Ce fut en silence, le visage rouge et le front luisant de sueur à cause de ma foulure, que je progressais en silence dans les vastes couloirs de la villa. Nous avions appris à nous déplacer tels des félins sans pour autant que nos pas puissent faire écho. Difficile avec mon handicap improvisé, mais tout même réalisable.

Je finis par atteindre les appartements de la cible, détachant silencieusement ma dague de ma ceinture. Malheureusement, la cible n’y était pas. Je fus par contre accueilli par diverses armes à feu, sabre et quelques liasses de billets. C’était certes une très belle compensation, de quoi ravir le démon, mais restait pas moins un échec cuisant pour notre organisation. Un client insatisfait ne faisait pas forcément bonne publicité. Cela serait sans doute la première fois qu’un contrat n’aura pas été rempli. J’appréhendais l’idée de voir de la déception sur le visage de Yamato, avant que mon regard fût attiré par un coffre à l’autre bout de la pièce. Un coffre étrangement mise à l’écart du reste du butin, mais luxueusement bien décoré de rubis. L’opulence me tendait les bras, à tel point que la note où était écrit « pour ma fille » ne suffit pas à m’arrêter. Même ma cheville avait dû se surpasser pour me permettre de réaliser cet exploit. D’ailleurs en parlant d’elle. Comment allais-je bien m’y prendre pour escalader la fenêtre qui m’avait permis d’arriver ici ? Nous verrons ça plus tard.

Actuellement, je ne pouvais pas suivre deux lièvres à la fois. Dans un premier temps, je m’évertuais à crocheter le cadenas qui scellait le coffre. Après cinq tentatives, j’étais parvenu à l’ouvrir avec l’aide de ma dague. Mon regard fut accueilli par un coussin de soie sur lequel trônait un gros rubis. Il était de couleur rouge avec une surface lisse. Sa forme particulière lui donnait un caractère rarissime. La difficulté qui m’avait été donnée de rencontrer pour m’emparer de ce joyau, lui accordait une certaine importance à mes yeux. Aveuglé par ma curiosité et ma cupidité, j’avais fini par extirper la pierre précieuse de son habitacle.
Malheureusement, sans m’en rendre compte, j’avais déclenché une alarme silencieuse. Deux agents de sécurité s’étaient présentés. L’un d’entre eux me tenait en joue, arme pointée derrière moi.

-Ne bouge pas petit ! Me conseilla-t-il. Ce n’est pas un endroit pour un enfant.

-Attends un peu…oui c’est bien le petit jeune du cirque, ajouta le second garde.

-Qu’est-ce que tu fiches ici gamin ? Tu es bien loin de ton habitat naturel, dit-il le sourire moqueur.

-Regard, ce morveux a le joyau du chef.

Sans plus attendre, je fus saisi rapidement par les gardes qui ne perdirent pas de temps pour me plaquer au sol. A coup de crosse sur le crâne, je sombrais graduellement dans l’inconscience. À mon réveil, j’étais à l’autre bout de l’île, loin des regards indiscrets. Poignet solidement attaché dans le dos, avec au bout de la corde le propriétaire du domaine, entouré par sa milice. Il s’apprêtait à me jeter par-dessus la falaise dans les eaux agitées de la mer.

-On va enfin savoir s’il nage aussi bien qu’un poisson ! Ricana-t-il. Sale petit morveux.

Évidemment que je m’étais mis à reculer ne souhaitant pas mourir noyé. D’un coup de pied au cul, je terminais ma course dans les eaux salées de la mer. Mes jambes n’étaient peut-être pas attachées comme l’étaient mes bras, mais je pouvais vous dire qu’il m’était impossible de faire appel à ces derniers. À cette époque, j’étais un piètre nageur. Je coulais telle une ancre. Le temps m'avait paru une éternité. Je n’arrivais pas à rejoindre la surface pourtant, j’y mettais toute ma volonté et mon énergie, mais rien, je coulais comme une pierre. Juste au moment où mes poumons se remplissaient d’eau et que je perdais conscience, je sentis une main qui me traînait jusqu’à la surface. Il s’agissait de Yamato, il me mit sur ses épaules pour ensuite me ramener au quartier général, avant que je puisse perdre totalement conscience.

Une fois sur place, je me souvenais des récents événements, reprenant contenance avec la réalité. Entouré par les membres éminents de la main, qui me regardaient avec un regard triste, je finis par comprendre ce qui allait se passer. Mon père m’expliqua rapidement la situation et m’informa que je devais quitter le pays. Hiro et Mia lui avaient raconté ce qui s’était passé. Il s’était déjà entretenu avec ma mère et leur décision était déjà prise. J’admettais avoir échoué dans ma mission, mais ce n’était pas une raison pour vouloir me bannir de l’organisation.

-Les rumeurs circulent rapidement dans la région. Révélant qu’un enfant s’était illégalement introduit dans la maison d’un haut dignitaire, dans le but de le tuer pour ensuite le voler. Ils ont retrouvé ta dague. Ta cible est un membre du Baryakoudan disposant d’une forte influence. Cela ne fera aucun doute que ta tête sera mis à prix. J’ai peur que l’on puisse mettre un contrat sur ta tête. Tu ne discutes pas…J’ai un vieil ami à Maasalia, tu iras vivre avec lui.

Bien évidemment que j’avais protesté. Je ne souhaitais pas m’éloigner de ma seule famille en particulier de ma mère. Persuader que nous allions trouver une solution à notre problème. Sauf que je ne me rendais pas compte à quel point, cette affaire était remontée aussi haut. Mon père activa mon plan d’exfiltration, qui était pour moi un motif valable pour me bannir. Les adieux furent longs et douloureux. J’avais beau en vouloir à mon père, mais je ne parvenais pas à retenir mes larmes lorsque je serrai ma mère dans les bras. Le voyage fut long et pénible, laissant derrière moi, ma Terre-Natale et ma famille. Rapidement, je perdis la notion du temps, restant cloîtré dans ma cabine. La traversée en dirigeable avait mis tellement de temps que lorsque je foulai la terre ferme, j’avais eu la sensation d’être désorienté. J’étais enfin arrivée un village au sud de Maasalia.

Je fus accueilli par un homme d’une quarantaine d’années qui m’attendait avec un jeune garçon du même âge que moi.

-Kyoshiro Nakata, je présume dit-il en me tendant la main.

-Vous présumez bien, rétorquai-je le regard méfiant. Vous pouvez vous contenter de Kyo.

-Kyo ! ok ça me va. Ton père m’a énormément parlé de toi. Je me présente, Danzo et voici mon fils Isao.

C’était la vieille connaissance dont Yamato avait fait allusion. Entre vous et moi, je ne portais pas mon père dans mon cœur. Outre le fait qu’il m’avait banni, j’avais toujours eu ce sentiment qu’il ne m’aimait pas. Je ne le considérais pas comme un père, mais plutôt un précepteur. Danzo m’informa qu’il était au courant de toute l’histoire et m’assura que je serais en sécurité avec lui. Après tout, le village dans lequel nous nous trouvions était réputé pour sa tranquillité. L’homme vivait avec son fils dans une maison proche de la mer. Elle donnait sur un quai personnel.

Le temps passa à tel point que vivre avec Danzo et Isao était devenu routinier. J’étais loin d’une vie dangereuse à laquelle pouvait être confronté un shinobi. Danzo était un ancien charpentier qui avait fini par se reconvertir dans l’élevage. Il ne parlait que très peu de son passé, surtout de la mère d’Isao. C’était un père célibataire qui avait à présent deux jeunes garçons à charge. Tout ce dont je savais, c'était que son épouse était morte, quelques années plutôt avant mon arrivée.

J’étais devenu très proche de son fils. D’ailleurs, nous faisions les quatre cents coups ensemble. Lui parlant assez peu de mon passé également. De vous à moi, je n’allais pas non plus lui relater que je tuais des gens pour survivre. Même si certains réflexes me trahissaient parfois. J’avais été l’un des shinobis les plus jeunes de la main. L’unique chose que le jeune garçon connaissait de moi, s’était mes prédispositions aux arts martiaux et à la maîtrise des armes blanches d’un ninja. Cela faisait désormais huit ans que j’étais sur ce continent. Vivant une vie paisible avec ma nouvelle famille.

J’étais loin de me douter que ma petite tranquillité allait bientôt connaître quelques perturbations. Perturbation qui allait rapidement prendre la forme d’un navire venant accoster près de la maison. En effet, à l’aube du matin, un bateau venait d’amarrer sur le quai non loin de notre petite maison. Difficile, pour ce navire de passer inaperçu, car il était en très mauvais état. Les voiles étaient déchirées de partout et il y avait un seul homme sur le pont. On pouvait se demander comment une seule personne pouvait naviguer en pleine mer. J’étais en train d’étendre le linge lorsque la vision pittoresque du navire se présenta à moi. L’étrange propriétaire du bateau vint à ma rencontre. Il souhaitait rencontrer Danzo.

Pas besoin de me faire un dessin, il m’expliqua que s’il souhaitait rencontrer mon précepteur, c’était pour son pauvre navire. Je sous-entendais qu’il savait que Danzo avait été charpentier dans une ancienne vie. Faisait-il partie de son passé oublié ? Je n’allais pas tarder à m’en rendre compte. Danzo surgit derrière moi en me demandant de chasser cet homme. Sur le coup, je ne compris pas toute suite. Ce fut lorsque mon regard plongea dans les siennes que je pouvais voir toute son animosité à l’égard de notre invité. Il faisait bien partie de son passé.

-Danzo, quelles sont ces manières ! Tu ne peux pas savoir commen…

-HORS DE MA VUE HIRAKU ! Avant que ton odeur pestilentielle ne se colle à mon linge.

Il marquait un point, il puait le saké à plein nez.

-Oji-san !

Isao déboula à vive allure avant de sauter dans les bras de son oncle. Lui offrant un bien meilleur accueil que son père. Autant vous dire que ce dernier n’était pas du tout ravi, mais ce bref moment de retrouvailles avait pu faire chuter la pression. Le fameux Hiraku était donc le frère de Danzo ? Qu’à cela ne tienne, il échangea un soupé contre quelques histoires assez juteuses concernant le passé de Danzo. Hiraku ne perdit pas de temps pour nous faire part des raisons de sa visite. Apparemment, son bateau n’était pas sa préoccupation première. D’abord, Isao et moi apprîmes qu’Hiraku et Danzo avait été des shinobis au service de la main. Un passé que le vieux Danzo ne souhaitait pas en parler. Voulant oublier son passé de mercenaire pour se consacrer à sa nouvelle vie civile. Je n’avais pas écopé d’un joker. Mon passé fut également déballé sur la table à la grande surprise d’Isao. Bien évidemment, Hiraku connaissait mes parents adoptifs, ayant autrefois fait partie de la main. Le repas fut tout même tendu et sembla durée une éternité, mais en fin de compte, Hiraku repartit sur son navire sans pour autant le faire réparer. Parler du bon vieux temps ce n’était pas dans l’ADN du vieux Danzo.

La nuit suivante, j’étais allongé sur le dos, à la lisière de la forêt, le regard noyé parmi les étoiles. Lorsque je souhaitais me vider la tête, c’était là que je m’y rendais. Soudain, j’entendis crier au loin. Plutôt inhabituel pour un village réputé pour sa tranquillité. Toute suite en alerte, je saisis mon kunaï soigneusement rangé à ma ceinture pour ensuite courir le plus vite possible en direction de la maison. Priant que rien n’était arrivée à Danzo et à Isao. Sauf qu’à peine arrivée au village, je ne pus qu'assister impuissant au cauchemar qui se présentait face à moi. Un théâtre macabre. On pouvait voir des cadavres joncher sur le sol, leur sang recouvrait chaque mur de chaque maison. Le paysage macabre qui se tenait devant moi était digne d'un film d'horreur. Choqué de voir tout cela, je courus en direction de la maison le cœur battant à toute allure.

Malheureusement, mes doutes finissaient par se confirmer en voyant le corps sans vie de Danzo et Isao. Ces derniers avaient reçu plusieurs coups de couteau et la maison avait été retournée. Je me mis à pleurer toutes les larmes de mon corps, avant de remarquer la présence d’un homme assis en position fœtal prêt des corps. J’avais à peine reconnu Hiraku. Il était également complètement anéanti. Moi qui le pensais parti depuis un moment. J’étais tellement désorienté que je ne me préoccupai pas de ça.

-Je suppose qu’il s’agit du garçon dont tu nous as parlé. Le garçon…de Kuruma. Celui dont la tête avait été mise à prix. Je dois admettre qu’il a poussé depuis le temps.

J’eus à peine le temps de me retourner pour identifier le propriétaire de la voix que trois types se jetèrent sur moi. D’un mouvement de recul, je pus les éviter avant de trancher l’un d’eux à la gorge à l’aide de mon kunaï.

-En plus, il se défend bien. Je vois que la main a fait un excellent travail.

Ce groupe d’hommes m’avaient rapidement encerclé. J’étais totalement désorienté par ma tristesse, mais je me laissais noyer par la colère. Elle me permettait de réveiller en moi mon instinct d’assassin. Vivre avec Danzo m’avait certes émoussé, je ne restais pas moi un instrument de la mort. Hiraku rompu à son tour le silence.

-Il ne faisait pas partie du marché. TU ÉTAIS CENSÉ LES ÉPARGNÉS, cria t-il.

À l’évocation de sa dernière phrase, je me retournais vers lui. De quoi voulait-il parler ? Non…

-JE VAIS T’ARRACHER LA TÊTE, vomissais-je avant de me jeter sur lui tel un prédateur.

Sauf que je n’eus même pas le temps de m’approcher de lui, que je fus envahi par une sensation oppressante émanant de lui. Je n’avais jamais ressenti une telle sensation auparavant. J’étais complètement tétanisé. Hiraku planta son regard dans le mien avant de répondre à mes interrogations.

-Tu penses que j’ai été un excellent assassin sans avoir développé le Nen ?!

Je n’avais aucune idée de quoi il parlait. Le Nen ? Qu’est que cela voulait bien dire ? Hiraku pouvait me parler avec un langage bizarre, cela n’enlevait pas moins sa traîtrise. Sa petite visite la nuit dernière n’était qu’un prétexte pour s’assurer de ma présence.

-Pathétique, tu as fait partie de la main et tu ne sais même pas te servir du Nen.

Profitant de la situation, les autres se ruèrent tous sur moi, formant une grosse masse qui m’encerclait. Donnant des coups de pieds à droite à gauche, des coups de poings en me faisant valser. Dans un moment d'inattention, je reçus un coup de masse sur la tête qui me sonna instantanément.

Lorsque je rouvris enfin les yeux, je fus pris d'une douleur et d'une migraine intense, voyant légèrement flou et j’avais du mal à interprété les sons que j’entendais, finissant par m'évanouir de nouveau sous l'étourdissement. La seconde fois que mes paupières s'ouvrirent, j’allais un peu mieux, ma vision était revenue et je percevais distinctement des voix. Regardant autour de moi, je ne mis pas longtemps à me rendre compte que j’avais été jeté dans une cellule. À mes côtés, se tenait un groupe de personnes que je ne connaissais pas, mais qui visiblement se retrouvait dans la même situation que moi.

Soucieux de savoir dans quel pétrin je m’étais fourré, je demandais à l’un de mes pensionnaires où nous étions. Pendant un instant, je n’eus que pour réponse leur mutisme, puis l’un d’eux fini par briser le silence. Il s’agissait d’un homme d’une soixantaine d'années. Assez faible avec des vêtements en lambeaux.

-Nous avons été capturés par des mercenaires, qui souhaitent nous vendre au plus offrant.

-Vendre comme des marchandises ?

-Comme des esclaves si tu préfères.

J’étais impuissant, incapable de m’évader. Le temps passa rapidement…ou lentement. Difficile d’être plus précis, j’étais rongé par la faim et le désespoir. En tout cas, je me souvenais d’avoir crié plusieurs jours et plusieurs nuits, mais cela ne dérangeait pas nos geôliers. Ils revenaient sans cesse, afin de nous extirper à tour de rôle. Jusqu’au jour où ils vinrent nous saisir avec le vieux. On nous traîna jusqu’à la grande place du marché, où nous furent exhibés sur des tables à la vue du public, telles de vulgaires marchandises.

Soudain, un homme à l'allure bourgeoise s'avança vers moi et commença à m’examiner en touchant mes cuisses, mes mollets, ainsi que tout le reste de mon corps, avant de se diriger vers le groupe de mercenaire. Discutant avec eux un bon moment, pour au final revenir vers moi avec l'un d'eux.

-Vous dites qu’il a été formé par la main ?

-En effet !

Je maudissais Hiraku pour m’avoir mis dans une telle situation. Sa cupidité avait causé la mort de son frère et de son neveu. Même s’il était dévasté, je n’avais qu’une seule envie, lui arracher la tête. Mon acquéreur acheta également le vieil homme.

Une certaine appréhension commençait à m’envahir revoyant le visage de Danzo perlé de sang. Le visage d’Isao figé dans le désespoir, les larmes de mes yeux qui me brûlaient à force de couler. Je n’avais rien oublié de tout ça, même de la douleur et de l'odeur particulière de mes sanglots, ainsi que de la crise d'angoisse qui avait causé une accélération de mon rythme cardiaque. L’odeur pestilentielle qui envahissait chaque recoin de la maison à cause des cadavres. Toutes ces pensées inondèrent mon esprit au point de m’extirper d’un sommeil profond. Un cauchemar.

J’étais toujours allongé au fond de cette cellule lugubre. Trois ans s’étaient écoulés depuis mon achat. Le noble ne m’avait pas acheté pour ma force de travail, mais plutôt pour divertir son assistance. J’étais devenu l’attraction pour un public averti. Le lendemain, un groupe de garde vint me réveiller m’ordonnant de les suivre. Quelques minutes plus tard, je me retrouvais sur scène, dans une fosse ensablée. Comme à leur habitude, les gardes vinrent me jeter des armes. Ils en avaient de toutes les tailles. Je finis par opter pour un sabre. Au fait, je ne vous l’avais peut être pas dit, mais le vieil homme qui avait été vendu avec moi, avait fini par m’apprendre les bases du Nen. Vous l’aurez compris, j’étais devenu un gladiateur.

Le bruit d’un cor retentit et mon adversaire se rua sur moi. Je fléchis légèrement les genoux avant de me lancer à mon tour. Nous nous rencontrâmes au centre de l’arène. Armé de ma lame, ce fut par un mouvement rapide et chirurgical que je parvins à lui sectionner les bras, avant qu’il puisse s’écrouler dans un bruit sourd. Sans aucune forme de procès, je lui tranchai la jugulaire. Du sang encore chaud gicla sur une partie de mon visage. L’ensemble de la foule se mura dans un silence inquiétant, surpris par la scène macabre qui venait de se dérouler devant leurs yeux ébahis, avant d’extérioriser leur joie dans un tonnerre d’applaudissement.

Le jour d’après, je fus invité une nouvelle fois à combattre.

-Mesdames et messieurs, nous allons assister à un combat d’anthologie opposant Kyo « aux yeux de démon » que l’on ne présente plus, face à une légende. Ne vous fiez pas à son apparence, il a autrefois fait partie de la main, j’ai nommé « Le poings d’acier ».

J’étais très surpris par ce nom de scène qui ne m’évoquait pas grand-chose. Quand la grille se leva pour permettre à mon adversaire de me rejoindre au centre de la fosse ensablée, je découvris avec stupeur le visage familier de ce cher Hiraku. « Hiraku aux poings d’acier » termina le speaker.

-Moi qui pensais te revoir dans de bien meilleures circonstances, le destin nous réserve parfois bien des surprises. Lâchai-je.

Le vieux bouc avait perdu sa langue, préférant me fusiller de son regard froid et arrogant.

-Je constate que tes partenaires ont fini par te trahir. C’est parfait, je me réjouis à l’idée de t’arracher la tête. Vomissais-je, avec un sourire carnassier.

-En-dehors des muscles que tu as pris, tu as conservé ta grande gueule, petit.

Ma lame prête à servir de nouveau, je prenais appui sur mes jambes, prêt à réceptionner son attaque. Honneur aux vieux. J’allais prendre un malin plaisir pour assouvir ma vengeance. Juste après le coup d’envoi, Hiraku recouvra son corps du Ten, pour ensuite se ruer vers moi. Comprenant d’où venait son surnom, les poings d’acier. Sauf qu’au moment où il pensait me toucher, des hommes en uniformes envahissaient les gradins de tous les côtés, arme à la main.

-L’armée ! Cria un membre du public.

C’était probablement le signal qui allait sonner le glas de la liberté. Le gouvernement de Mimbo venait de mettre la main sur un réseau de combats illégaux. Aussitôt, des tirs de sommation fusèrent de chaque côté des gradins, permettant au prisonnier et aux civils de s’échapper. L’armée profita du chaos pour se ruer sur nos geôliers.

Je profitai également du chaos et de ce moment d'inattention, pour trancher la tête de ce pauvre Hiraku. La vengeance prenait le pas sur la situation. Ce fut ainsi que je mis fin à ma vie de gladiateur.
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Mar 19 Juil - 0:03
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Isaac Netero
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Isaac Netero
Cohérence : L'histoire est plutôt cohérente mais il demeure, selon moi, quelques zones d'ombre qu'il aurait peut-être été bon d'éclaircir.

Tu n'as pas parlé de l'entraînement ninja que Kyoshiro a subi, ni de ce que cela lui a apporté.

Pourquoi un enfant de douze ans est-il envoyé effectué une mission extrêmement dangereuse en risquant de se mettre une famille mafieuse influente à dos ? Pourquoi n'a-t-il pas été initié au Nen avant d'effectuer cette mission si la Main savait l'employer ?

Pourquoi Hikaru a-t-il voulu vendre Kyoshiro alors qu'il maîtrisait le Nen et qu'il avait durement plein de moyen de se faire de l'argent facilement ?

Comment se fait-il qu'un esclave maîtrisait le Nen mais n'a jamais essayé de s'échapper ? Idem pour Hikaru, comment ça se fait qu'il se soit laissé faire ? Est-ce que ça veut dire que les gens qui l'ont capturé sont particulièrement fort dans le monde du Nen et que les acheteurs aussi ? Dans ce cas, ne devraient-ils pas être connus ?

Et du coup, le Baryakoudan vient pas se venger ? A moins que les hommes qui ont capturé Kyoshiro en fasse partie, auquel cas je ne comprends pas le choix de lui laisser la vie sauve et de juste le vendre (ils auraient pu couper un bout ou deux).

J'ai également un peu de mal à voir le lien entre la mentalité du personnage et les expériences qu'il a vécu.

20/30


Fluidité : Globalement, c'est fluide. J'aime beaucoup ta plume, c'est très agréable à lire. Cependant, dans certaines de tes phrases, il y a beaucoup de virgules qui coupent la lecture.

16/20


Inscription dans le contexte : Tu nous parles de plusieurs éléments de contexte  Sakaido, shinobi, Baryakoudan, soldats du Mimbo... auxquels tu ajoutes ta petite touche personnelle, c'est très plaisant. Néanmoins, j'aurais bien aimé que tu cites peut être un pnj lié à une des institutions dont tu as parlé. J'aurais bien aimé aussi voir sortir de l'histoire ou de la personnalité de Kyoshiro un objectif à atteindre.

14/15


Originalité : Je ne dirais pas que c'est par sa personnalité que ce personnage brille en matière d'originalité, sa personnalité est plutôt un "basique" shonen. Cependant, son histoire est très intéressante. Ce n'est pas le noble héritier de qui que ce soit, il a simplement été adopté dans des conditions un peu mystérieuses par un couple un peu spécial. Son père adoptif ne l'aimait apparemment pas tellement mais il n'a jamais essayé de lui faire du mal, il l'a même sauvé. Puis, il a eu une éducation stricte mais loin d'être un génie, il a échoué à l'une de ses missions les plus importantes puis a été exilé chez un ami de ses parents avant d'assister à un massacre et de finir réduit en esclavage, destiné à combattre en tant que gladiateur. La vie n'a pas été clémente avec lui et, contrairement à ce qu'on aurait pu s'attendre, il ne s'est pas sauvé lui-même comme beaucoup l'auraient fait. Il a été délivré par le gouvernement du Mimbo et je trouve ça vraiment super de présenter son personnage en disant "voilà, il a été éduqué pour être un ninja de génie, mais en fait il est pas si fort que ça et il lui arrive d'avoir besoin d'aide".

16/20


Orthographe : Tu as une plume très belle et cela se voit que tu maîtrises bien la langue française. Il demeure tout de même quelques erreurs de concordance de temps et d'inattention telles que des lettres qui disparaissent. La plupart auraient certainement pu être évitées avec une petite relecture.

14/15


20 + 16 + 14 + 16 + 14 = 80
80 x 10 = 800
On ajoute à ça les 200 points du questionnaire pour le Nen qui t'a d'ailleurs octroyé le Hatsu de Spécialisation, ce qui monte Kyoshiro à 1000 de puissance.

Félicitations ! Tu es désormais prêt à te lancer dans de nouvelles aventures ! Bonne chance pour trouver ta voie, mon ami ninja. Hâte d'employer tes services.

Tu peux désormais faire ta Fiche Technique et ta Fiche rp mais n'oublie pas d'abord de recenser ton avatar ici.

Bon rp très cher et à bientôt !
Ven 22 Juil - 10:57
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